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Camille Laurin
Reconnu comme le père de la Charte de la langue française, la Loi 101, il fait partie de la demi-douzaine de députés du Parti Québécois, élus pour la première fois à l’Assemblée Nationale, en 1970. Il représente la circonscription de Bourget. Camille Laurin a été l’un des fondateurs du Mouvement souveraineté-association, le M-S-A, qui précéde la création du Parti Québécois, en 1968, avec son chef René Lévesque.
Après avoir obtenu son diplôme en médecine à l’Université de Montréal, il part à Boston pour se spécialiser en psychiatrie. Ensuite, il se perfectionne en psychanalyse à Paris et revient pratiquer au Québec. Sous le gouvernement de René Lévesque, de 1976 à 1984, il est successivement ministre d’État au développement culturel et scientifique, ministre de l’Éducation, vice-premier ministre et ministre des affaires sociales. Il démissionne en 1984 pour s’opposer à la stratégie du « beau risque », élaborée par René Lévesque pour donner une autre chance au fédéralisme canadien.
Il revient au Parti Québécois après l’accession de Jacques Parizeau et reprend son siège de Bourget à l’élection du 12 septembre 1994. Il quitte la vie politique en 1998, pour des raisons de santé.
Né à Charlemagne, le 6 mai 1922, il décède à Vaudreuil-Dorion, le 11 mars 1999, à l’âge de 76 ans.
Résumé biographique rédigé par Claude Morin journaliste